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Je profite du tapage médiatique à propos de la « main » de Thierry Henry pour faire un parallèle entre les décideurs et les arbitres.


Pratiquant d’arts martiaux depuis plusieurs années (TaeKwonDo) j’ai naturellement été amené à arbitrer ne pratiquant plus la compétition officielle. Même avec les plastrons électroniques introduits depuis peu dans ce sport, il y a toujours une décision à prendre pour l’arbitre central (le combattant est sorti des limites de l’aire de combat, le coup porté n’est pas autorisé,…). En TKD, l’arbitre central peut momentanément arrêter le combat pour consulter les 4 arbitres de coin avant de prendre sa décision finale (les coups sont extrêmement rapides et celui-ci ne peut pas tout voir). Mais cette opération ne dure que quelques secondes.

Le comptable peut commettre une erreur sur son fichier Excel qu’il pourra, si la détecte, corriger. L’arbitre central lui n’a pas droit à l’erreur et pourtant sa prise de décision doit être « juste » et « rapide » au risque de déclencher les foudres de guerre.

L’arbitre central du match France – Eire n’a pas la possibilité de revenir sur sa faute d’arbitrage.

Nos managers seraient sans doute inspirés de suivre un stage d’arbitrage.

Qu’en pensez-vous ?

Tags : arbitrage
Rédigé par par Patrick JAULENT le Mardi 24 Novembre 2009 à 13:37


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Dr Patrick JAULENT



Patrick Jaulent a plus de 25 ans d'expérience en Performance des organisation publiques et privées.


Ancien consultant, professeur.


Plus de 80 projets en pilotage de la performance réalisé.


C'est un Expert en Définition & Exécution stratégique, Tableaux de bord & Indicateurs de performance


Auteurs de plusieurs ouvrages sur ces sujets (Piloter vos performances, édition AFNOR - Méthodes de Gestion comment les intégrer Editions d'organisation - Les leviers de la performance Editions Riscus) et Objectif performance (éditions AFNOR)



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